La Justicia rechazó la acusación de la AFIP a Despegar
Por Hugo Alconada Mon.
La denuncia fue espectacular y ruidosa, con fotos y declaraciones incluidas del director de la Administración Federal de Ingresos Públicos (AFIP), Ricardo Echegaray. La empresa Despegar.com, se anunció, evadía el impuesto a las ganancias por montos millonarios. Y se ordenó la clausura preventiva de sus oficinas. Pero ahora, 14 meses después, la Justicia exoneró a la firma, cerró la causa y criticó en durísimos términos a la AFIP, que en silencio consintió el fallo.
La decisión fue tomada por el juez en lo Penal Tributario, Javier López Biscayart, el 17 de marzo pasado, pero recién quedó firme este mes, cuando la AFIP decidió no apelar el sobreseimiento -al igual que la Fiscalía- y sólo recurrió ante la cámara porque el magistrado también le impuso al organismo tributario que afronte las costas del juicio.
López Biscayart tomó esa decisión después de criticar en duros términos a la AFIP por denunciar que Despegar.com había montado una «planificación de acciones fiscales nocivas» por el equivalente a «sumas varias veces millonarias», pero que luego, y según cálculos de la propia AFIP, no fue así.
«Corresponde poner de relieve la desmedida diferencia entre la magnitud del hecho denunciado [por la AFIP] y los exiguos resultados de la labor final de fiscalización, concluyendo un ajuste técnico de mínima significancia», remarcó el juez.
Eso, añadió, generó «un dispendio jurisdiccional innecesario y que, por lo tanto, determina la imposición de las costas de este proceso a la parte querellante [por la AFIP], puesto que en modo alguno puede considerarse razonable que pudiera tener derecho a formular la desproporcionada presentación» con la que comenzó el expediente penal.
El contrapunto comenzó en febrero del año pasado, cuando el organismo recaudador clausuró las oficinas de Despegar.com y suspendió su habilitación para operar en el mercado local, después de acusarla en público de evadir impuestos en la Argentina a través de una sociedad en Delaware, Estados Unidos.
«Las empresas que desarrollan su actividad en la Argentina deben saber que tienen que pagar los impuestos en nuestro país», afirmó entonces Echegaray.
«En el ámbito del G-20, las principales potencias del mundo están planificando qué hacer con las grandes multinacionales que esconden sus activos en sociedades offshore, nosotros hacemos acciones concretas contra aquellos que realizan planificaciones fiscales nocivas.»
Dentro del expediente penal, sin embargo, la AFIP completó un análisis que determinó que no existió tal evasión por «sumas millonarias», como había anunciado a la prensa.
Por el contrario, los expertos de la AFIP estimaron los montos por los que Despegar.com debería ajustar sus declaraciones impositivas, que accedió a rectificarlas. Y a partir de allí se determinó que el monto máximo que el organismo tributario podía reclamarle a la firma ascendería a 300.000 pesos durante 2009, poco más de $ 296.000 por el año fiscal siguiente y otros $ 246.000 durante 2011. Es decir, todos debajo del monto mínimo que establece la ley para abrir una investigación penal por evasión simple, que desde 2011 es de 400.000 pesos.
Sobreseído
Ante las conclusiones de la propia AFIP, López Biscayart dispuso sobreseer al único ejecutivo de Despegar.com que había sido imputado «porque los hechos no encuadran en una figura legal, con expresa mención de que la formación de la presente causa a este respecto en nada ha afectado el buen nombre y honor de que hubiera gozado».
Sin embargo, el magistrado incluyó un segundo punto en su resolución y decidió «imponer las costas del proceso a la parte querellante», en alusión a la AFIP, que sólo decidió apelar esa decisión judicial.
Líder del mercado de turismo online, Despegar.com -con ventas durante 2011 por 184 millones de pesos- atribuyó la clausura que había dispuesto la AFIP sin una orden judicial a restricciones impuestas por el Gobierno.
«La empresa presume que probablemente esta acción sea parte de un esfuerzo más por intentar restringir las opciones de compra de viajes al exterior y que estas medidas se puedan extender al resto de las agencias de viaje», indicaron entonces a este diario desde Despegar.com sólo horas después de aquel operativo.
Sin entrar en esas hipótesis, López Biscayart ordenó archivar la causa.
L’ISO 22 222 définit le processus de conseil en gestion de patrimoine et spécifie les exigences relatives au comportement éthique, aux compétences et à l’expérience requis pour exercer la profession de conseiller en gestion de patrimoine.
Cette norme s’applique à tous les conseillers en gestion de patrimoine, quel que soit leur statut professionnel. Elle décrit et aborde les diverses méthodes d’évaluation de conformité et spécifie les exigences qui s’appliquent à chacune d’entre elles.
Il s’agit d’une démarche individuelle et volontaire : aucune autre formalité n’est exigée.
La création de cette norme ISO est une réponse aux professionnels qui ont voulu :
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Conditions d’obtention
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Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine
Le Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine est un titre professionnel reconnu par l’Etat (JORF du 29 novembre 2014). Ce diplôme permet d’avoir une vision générale de l’activité de conseil et de gestion de patrimoine : de la relation client à la rédaction d’un bilan patrimonial et financier.
Objectifs
A l’issue de cette formation, vous serez capable :
De connaître tous les mécanismes juridiques liés à la profession de gestionnaire de patrimoine
De maîtriser des règles de gestion patrimoniale nécessaires à la réalisation d’un diagnostic patrimonial et financier
Titre reconnu par l’Etat (publication au JORF du 29 novembre 2014), le Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine permet d’obtenir un niveau II de formation, et ainsi répondre aux exigences de capacité professionnelle des activités règlementées suivantes :
Conseiller en Investissements Financiers (CIF)
Intermédiaire en Opérations de Banque et Services de Paiement (IOBSP) – Courtier et/ou Mandataire non exclusif – Immatriculation ORIAS Niveau 1
Intermédiaire en Assurance (IAS) – Courtier ou Agent général – Immatriculation ORIAS Niveau 1
Carte de Transaction immobilière (carte T)
Conseiller en Investissements Participatifs (CIP)
Intermédiaire en Financement Participatif (IFP)
Prérequis
Préalablement à cette formation, les participants devront :
Avoir au moins 3 ans d’expérience professionnelle dans un secteur lié à la gestion de patrimoine (banque, commerce, assurance, immobilier), une activité stable
ou Avoir un diplôme de niveau bac + 2 dans un domaine juridique, économique ou de gestion
ou Etre titulaire de la Capacité en Investissement et Patrimoine
Modalités d’examen
L’évaluation du Certificat de Conseiller en Gestion de Patrimoine se déroule en 3 étapes :
Première partie de la note : examen sur table de 3 heures (cas pratique) sur le module B. Une session de rattrapage est organisée pour les apprenants qui n’obtiendraient pas 10/20 à cet examen.
Deuxième partie de la note : examen sur table de 3 heures (cas pratique) sur le module C. Une session de rattrapage est organisée pour les apprenants qui n’obtiendraient pas 10/20 à cet examen.
Troisième partie de la note : le projet tutoré (modules A et D sont évalués), qui s’apparente à un cas client découpé en plusieurs étapes, et qui se déroule tout au long de la formation. A l’issue de ces différentes étapes, le dossier client est constitué du recueil d’informations, du bilan patrimonial et du bilan financier. Chaque apprenant est ensuite convoqué devant un jury professionnel pour argumenter ses préconisations (étape qui s’assimile au second rdv client).
Pour être lauréat de la formation, un minimum de 10/20 est requis (calculé à partir de la moyenne des trois notes).
Modalités pratiques
Nombre d’heures : 500 (440 heures d’enseignement à distance par internet dont 104 heures pour le « projet tutoré », 60 heures de formation présentielle)
Nombre de séances de regroupement : 3 séances de trois jours consécutifs dans la ville de regroupement choisie initialement
Formation organisée sur 10 mois consécutifs
Programme
Module A : Prospecter
Communication commerciale
Cadre législatif et réglementaire
Module B : Diagnostiquer
Méthodologie juridique
Régimes matrimoniaux
Transmission du patrimoine (donations et successions)
+Projet tutoré tout au long de la formation (cas client)
5 490,00 €
Fuente: Juriscampus, 2015.
Durée
500h sur 10 mois
Avec 63 Heures en présentiel
Prochaine Session
24 avril 2015
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Produits associés
Capacité en Investissement et Patrimoine
Master 2 mention Droit Notarial, Immobilier et du Patrimoine spécialité Ingénierie du Patrimoine (Cycle de formation continue)
Etiquetas: ISO 22.222 – ISO 22222 – Norma ISO 22.222 – Norma ISO 22222 – Norme ISO 22.222 – Norme ISO 22222 – Planificación Financiera Personal – Conseiller en Gestion de Patrimoine
Los siete hábitos de los profesionales globales efectivos
Por Marcelo Baudino.
Así como los expatriados tienen algunos hábitos que contribuyen a una experiencia internacional positiva, los profesionales con exposición internacional también pueden desarrollar hábitos que optimicen sus interacciones interculturales. Sherwood Fleming, una especialista intercultural de Canadá, identificó 7 hábitos que suelen estar presentes en aquellas personas que se comunican efectivamente a través de las culturas:
1. Toman riesgos en la comunicación
Para muchas personas, tomar riesgos resulta algo incómodo. Hablar un idioma extranjero, adaptarse a diferentes acentos y estilos de comunicación y navegar por temas de conversación delicados, implica asumir un riesgo y salir de la zona de confort. Los profesionales globales efectivos aceptan que el camino del desarrollo de competencias interculturales está lleno de desafíos, y aún así, están dispuestos a enfrentarlos a pesar de algún grado de incomodidad.
2. Se adaptan primero
Los profesionales globales efectivos no llevan una ficha sobre quién debería adaptarse primero a quién. En cambio, practican la adaptación dentro de cualquier situación y con cualquier persona de cualquier cultura. En cada oportunidad que tienen, se adaptan en su forma de hablar, en cómo escuchan, en sus costumbres y hasta en sus valores. Al igual que un atleta, saben que la única manera de dominar algo es a través de la práctica.
3. Escuchan con oídos interculturales y ven con ojos interculturales
Los oídos interculturales permiten escuchar de manera imparcial, dejando de lado los pre-conceptos sobre lo que es “correcto” o “incorrecto”. De esta manera, son capaces de realizar una interpretación más precisa de la verdadera intención de sus interlocutores. También ven con ojos interculturales, ya que eliminan los pre-conceptos sobre los significados de las expresiones faciales y otros lenguajes corporales, ya que estos pueden tener otros significados para otras culturas.
4. Cultivan un corazón intercultural
Todos apreciamos cuando interactuamos con alguien que está verdaderamente dedicado a tratar nuestras inquietudes. Estos individuos construyen puentes comunicacionales, en lugar de alzar barreras comunicacionales, ya que operan con un deseo sincero de conectarse con sus interlocutores, más allá de sus culturas.
5. Construyen una identidad intercultural
Dentro de nuestras culturas nativas, existen muchas maneras en las que podemos formar nuestra identidad profesional: nuestros logros, nuestros títulos, nuestras experiencias laborales, etc. Sin embargo, fuera de nuestra propia cultura, muchos de esos símbolos de nuestra identidad profesional carecen de sentido. Por esto, un profesional global efectivo utiliza cada oportunidad disponible para transmitir un mensaje claro y conciso sobre quiénes son, de qué son capaces, qué les importa y cómo pueden beneficiar a otros.
6. Adaptan sus estilos de comunicación
En contextos globales, nuestros estándares culturales sobre cómo comunicarse a nivel profesional, pueden no ser apropiados. Los profesionales globales efectivos saben que lo que funcionó en determinado momento o en otro lugar, no necesariamente funcionará con personas de otro país, por lo que necesitan adaptarse a nuevos estilos de comunicación, tanto a nivel oral como escrito.
7. Desarrollan una sabiduría intercultural
En cada uno de los seis hábitos anteriores, existe una actitud subyacente de curiosidad y pasión por aprender. No importa por cuánto tiempo hayan trabajado en ambientes multiculturales, los profesionales globales efectivos nunca sienten que lo saben todo. Ellos reconocen abiertamente que siempre es posible aprender más sobre otras culturas.
Fuente: bloginteligenciacultural.com, 2015.
Traditional Pensions: Did a Golden Age Ever Exist?
By Mark Miller.
The defined benefit pension: the golden age of retirement security, or not so much? It’s a key question in the debate about the retirement security crisis facing so many Americans.
The percent of households working in the private sector with a defined benefit (DB) pension has fallen sharply in recent years, and Federal Reserve data shows that they will become nearly extinct in the years ahead. In 2010, 18.3 percent of 55- to 64-year-old households had defined-benefit pensions, but the younger age groups coming up behind them are much less likely to be covered – just 10.4 percent of households age 45-54 had a defined-benefit plan, and the numbers fall sharply from there.
That decline has eroded the amount of guaranteed lifetime income retirees can expect. But is the historic importance of DB pensions over-stated? Some argue that while DB pensions do a good job for workers who stay at a job for many years, they were never a good solution for those who shift jobs frequently.
Under ERISA, employers can require that employees have five years of service to become 100 percent vested, or longer periods with gradual vesting. Research by the Employee Benefit Research Institute (EBRI) found that median tenure for male workers age 55 to 64 topped out at 15.3 years in 1983, and slid to 10.7 years in 2012. For female workers in that age group, the figure has remained more stable, around 10 years. The implication: many workers never received much benefit from their pensions, even when they worked for companies offering them.
That strikes me as a critique of coverage – not much different than the failure of the 401(k) and IRA systems to cover more households. The 2013 Survey of Consumer Finances (SCF) from the Federal Reserve found that ownership of retirement plan accounts is falling sharply among lower-income households. In the bottom half of income distribution: 40 percent owned an IRA or 401(k) account, down from 48 percent in 2007. And the average combined IRA and 401(k) value in that income group was just $39,100 – down more than 20 percent from 2007.
Those numbers shouldn’t be surprising, in light of the huge financial pressures that make it next-to-impossible for middle class households to save for retirement: employment insecurity, soaring college costs, rising credit card balances and student loan overhang.
The vesting critique also masks a simple fact: for workers who have DB pensions, the retirement income they generate dwarfs the value of a 401(k) or IRA. A study of 2010 SCF data by economist James Poterba of the Massachusetts Institute of Technology found that among near-retirement households who had a DB pension and an IRA, the pension accounts for 84 percent of projected lifetime income in retirement; for those who had a DB pension, an IRA and a 401(k), the pension accounts for 63 percent of projected income.
Along with declining pensions, we’ve got another retirement income problem: Social Security benefits are projected to replace a smaller share of income in the years ahead, mainly due to the the Social Security reforms enacted back in 1983. The reforms gradually raise the retirement age; that acts as a benefit cut, since higher retirement ages raise the bar for receiving full benefits. The 1983 reforms also introduced taxation of benefits for higher-income seniors and changes in cost-of-living adjustments.
The National Academy of Social Insurance projects that in 2015, Social Security will replace 35 percent of the median worker’s pre-retirement income at age 65 – down from 39 percent in 2002. And the replacement rate will fall further by 2030, to 31 percent.
We can talk about financial literacy and behavioral economics all day long, but neither have the firepower to overcome these huge structural barriers to restoring retirement security.
—Mark Miller is a journalist and author who writes about trends in retirement and aging. He is a columnist for Reuters and also contributes to Morningstar and the AARP magazine. Mark is the author of The Hard Times Guide to Retirement Security: Practical Strategies for Money, Work and Living. He edits RetirementRevised.com.
Personalidades venezolanas podrían estar implicados en caso de lavado de dinero de mafia rusa
Todo arranca de una operación de la Guardia Civil de España que investiga a la mafia rusa en Lloret de Mar, es la llamada “Operación Clotilde”. Piden al juez acceso a escuchas telefónicas y descubren que la mafia rusa está hablando con la Banca Privada de Andorra. Casualmente, en esas conversaciones aparecen tratos de este banco con importantes personalidades venezolanas en presuntos casos de blanqueo de dinero. La Guardia Civil no tiene competencias para intervenir, pues los hechos se producen entre dos países extranjeros, por lo que deciden informar a las autoridades de Estados Unidos que es quien finalmente toma cartas en el asunto.
Fuente: elnacional.com, 10/04/15.
Lloret de Mar es un municipio español de la comarca de la Selva, en la provincia de Gerona, Cataluña y junto al mar, en la Costa Brava. Está dotado de unas playas excelentes de arena granulada. Posee también unas magníficas vistas al castillo en un extremo y al otro el monumento a «La dona Marinera» que representa el sufrimiento de las mujeres esperando la vuelta de sus maridos pescadores.
Un incendio en Economía destruyó archivos oficiales
SINIESTROS BAJO SOSPECHA. El domingo se quemó el centro de cómputos de la Secretaría de Hacienda. Allí se asienta el detalle de los gastos del Ministerio. Es el cuarto caso de este año en áreas públicas clave.
Por Marcela Pagano.
Balcarce 186. Una de las entradas del Ministerio de Economía. El fuego se focalizó en una oficina del cuarto piso y no dejó rastros visibles desde el exterior. Diego Waldmann.
Un misterioso incendió ocurrió el último fin de semana en el Ministerio de Economía. Con el edificio prácticamente vacío, un centro de cómputos ubicado en el cuarto piso del Palacio de Hacienda comenzó a arder el domingo por la tarde -el único día de la semana en el que no hay empleados trabajando. Se quemó el centro de cómputos de la Secretaría de Hacienda, que contiene las computadoras en las que se archiva el control de gastos del ministerio.
El incendio motivó una denuncia policial y fue admitido a Clarín por voceros y empleados de Economía. Se trata del cuarto incendio de este año en áreas claves del Estado. En febrero, hubo incendios en la Casa Rosada y en el Senado y el mes pasado en el Edificio Libertador (ver más información en página 4).
El Palacio de Hacienda es una de las sedes de Gobierno más grandes y por lo tanto, más difíciles de controlar. Consta de tres edificios distribuidos en una manzana comprendida entre las calles Balcarce, Hipólito Yrigoyen, Paseo Colón y Alsina, donde funcionan también el Ministerio de Industria y el de Planificación.En el cuarto piso reside toda el área operativa de Juan Carlos Pezoa, el titular de la Secretaría de Hacienda. Fue en una pequeña oficina de este piso, aunque lejos del despacho del secretario, ubicada en la Dirección General de Sistemas Informáticos de Administración Financiera hacia la entrada de Balcarce 186, donde ocurrió el siniestro.
Según la versión oficial, lo que motivó el incendio fue un cortocircuito en uno de los aires acondicionados que refrigeraba la sala.
Lo llamativo del caso es que la denuncia fue presentada en la comisaría segunda recién un día después de ocurrido el siniestro por la jefa del área, María Eva Sánchez. Los peritajes para conocer el alcance del daño se extendieron hasta el miércoles por la tarde. Sánchez acudió ayer nuevamente a la dependencia policial para ratificar la denuncia.
Según informaron a Clarín fuentes allegadas al área, se quemaron todas las computadoras que estaban en el salón donde se guardaba el control de gastos de la cartera dependiente de la secretaría que comanda Pezoa. La versión oficial en cambio habla de “un principio de incendio en la sala de testeo de desarrollos informáticos”. Ante la consulta sobre los daños y las pérdidas de información que podría haber acarreado el incendio, desde el Ministerio no pudieron dar precisiones.
Otra rareza del caso es que si bien hubo intervención de bomberos, el alcance de las llamas no se propagó por fuera de la oficina en cuestión. “El centro de cómputos es un cuarto donde no trabaja ningún empleado, son solo computadoras y para evitar que se recaliente la sala debe estar refrigerada permanentemente con aires acondicionados”, explicó a este diario un empleado del área que pidió que se preservara su identidad.
Los domingos el Ministerio de Economía permanece vacío y no hay actividad. Pero siempre quedan los empelados de seguridad a cargo del control de las puertas de acceso. Además, al tratarse de una estructura tan grande (son 13 pisos de altura y dos subsuelos) hay serenos que tienen la obligación de hacer rondas nocturnas para fiscalizar los distintos pisos y hay cámaras de seguridad distribuidas por todos los rincones del edificio.
Pero el mantenimiento del edificio es por lo menos cuestionable, según las quejas frecuentes de algunos empleados. De hecho hace pocos meses también un desperfecto técnico habría motivado otro incendio.
Entre los reclamos gremiales que se escuchan a diario, figura el retraso de un año y medio en las compras de elementos de tecnología necesarios para reacondicionar computadoras y circuitos eléctricos. La falta acondicionamiento en la infraestructura eléctrica motivaron que durante los días de mayor calor se diera contantes cortes de luz en el edificio. De hecho durante el verano los aires acondicionados prácticamente no funcionaron.
Las cañerías de algunos pisos están tan viejas que los baños huelen a cloaca, incluso cuando personal de limpieza los asea. El café del piso 13 tuvo que ser clausurado porque el techo tenía tanta humedad que empezó a caerse.
Un fondo buitre inició una demanda millonaria contra la Argentina por la expropiación de YPF
Burford Capital compró el juicio que encabezan dos empresas en liquidación que había utilizado la familia Eskenazi para adquirir el 25%; la demanda también alcanza a la petrolera
Por Juan Pablo De Santis.
A través de dos empresas residuales de la familia Eskenazi, el fondo buitre Burford Capital inició una demanda ante la Corte del Distrito Sur de Nueva York contra YPF y la República Argentina por la expropiación de la mayoría de acciones de la petrolera.
La demanda fue presentada el 8 de abril pasado, una semana antes del tercer aniversario de anuncio de proyecto de ley de nacionalización de YPF, y reclama un resarcimiento económico alegando que durante el proceso de expropiación se violaron las leyes de oferta pública en los Estados Unidos.
Todavía no fue establecido un monto solicitado, pero se presume multimillonario, dado que las acciones en cuestión habían sido adquiridas hace siete años por una cifra superior a los 3300 millones de dólares.
Aunque en la práctica, el litigio es financiado y conducido por Burford Capital, el fondo que «compró el juicio» con el único fin de litigar contra la Argentina. Esta empresa es una de las más importantes de Estados Unidos que invierte en la industria del litigio corporativo, tal como se lo conoce en la jerga, y tiene una cartera valuada en U$S 500 millones.
El texto del planteo jurídico al que accedió LA NACION reclama un resarcimiento económico porque al momento de llevarse a cabo la expropiación el Gobierno argentino no lanzó una oferta pública de adquisición sobre las acciones a un precio predeterminado para retomar el control de la firma, tal como lo establecían «los estatutos de YPF» y el prospecto de oferta pública que la compañía presentó ante la Comisión de Valores de Estados Unidos en 1993.
Así los litigantes afirman que fueron violados sus derechos como inversores. «Pero Argentina e YPF intencionalmente y de mala fe rompieron esas promesas», dice el texto de la presentación judicial alegando que «el resultados de violar el requisitos de oferta de compra y otras conductas ilícitas fueron devastadoras para Petersen y otros accionistas de YPF».
Por su parte, el Grupo Petersen Argentina -de la familia Eskenazi y con sede en Buenos Aires- afirmó a este medio a través de un comunicado que sus accionistas nada tienen que ver con la presentación de esta denuncia, sino que es producto del proceso de liquidación de estas dos empresas con las que habían comprado su participación en YPF y que está observado por la Justicia de España.
«Estamos al margen y no tiene injerencia alguna en cualquier proceso judicial que se esté desarrollando en la Argentina o en el exterior», reafirmaron.
ANTECENDETE. Tras la salida de Marsans de Aerolíneas Argentina, el fondo Burford Capital compró los derechos del litigio que el grupo español inició contra el país ante el Centro Internacional de Arreglo de Diferencias relativas a Inversiones (CIADI) del Banco Mundial.
LA RUTA DE LA DEMANDA
Tras haber acordado su ingreso a YPF con el Gobierno argentino y Repsol, el grupo empresario de la familia Eskenazi constituyó en Madrid (España) un arquitectura legal para comprar las acciones de la petrolera: Petersen Energía Inversora y Petersen Energía, ambas sociedades anónimas unipersonales que oficiaron de cascarón legal. A su vez estas dos estaban integradas por Petersen Energía PTY Ltda, con sede en Australia.
Antonio Brufau, CEO de Repsol, y Enrique Eskenazi, de Grupo Petersen, al finalizar la compra de acciones de YPF el 5 de mayo de 2011. Foto: Archivo
En 2008, los Eskenazi compraron el 14,4% de YPF a Repsol y en 2011 ejercieron una opción de compra hasta alzarse con un cuarto de la propiedad de la firma. En una maniobra poco común, la compra se materializó vía un préstamos de Repsol y otros cinco que fueron concedidos por los bancos Itaú, Credit Suisse, Citibank, Standard Bank y BNP Paribas.
Los créditos serían repagados con utilidades que los nuevos accionistas cobrarían en la compañía. Por entonces, Sebastián Eskenazi fue nombrado CEO.
Al haber quedado vaciadas de activos, las legalmente españolas Petersen Energía Inversora y Petersen Energía se acogieron a la ley de bancarrota -un proceso similar a lo que localmente se conoce como concurso de acreedores- y un juez competente debió intervenir en la liquidación de las sociedades.
«Las dos firmas en liquidación actuando bajo la autoridad de una Corte Española competente y con el interés de atender las deudas de ambas empresas iniciaron una demanda multimillonaria contra YPF y la Argentina por la pérdida del 25% de su participación en YPF», informó a través de un comunicado de prensa en Londres la agencia Neustria Partners, representates de prensa de los litigantes.
Cristina Kirchner le dice No a los «Fondos buitre»
«En el contexto que se presenta el fondo Burford Capital que salió a buscar el único activo, por llamarlo de algún modo, que le quedaba a estas dos empresas cáscara en liquidación con las que se compraron acciones de YPF. La estrategia es clara, adquiere los derechos del juicio por una pequeña suma y luego litiga», explicó a LA NACION un abogado societarista de un importante estudio porteño con conocimiento de la demanda, pero que requirió no divulgar su nombre.
YPF SA fue consultada por este medio, pero no brindó comentarios al respecto.
A continuación te presentamos una pequeña guía que pretende presentar aspectos generales y básicos de cómo elaborar una tesis. Muchas veces nos hemos visto intimidados frente a la elaboración de un trabajo de investigación de esta magnitud. No obstante, después de leer esta guía comprenderás que la realización de una tesis es un trabajo muy apasionante, donde podrás descubrir, replantear y hasta crear.
Elabora un plan de trabajo. Para realizar una investigación, es indispensable tener una organización de todas las actividades que piensas seguir, esto te ayudará en la buena administración del recurso tiempo y le dará forma a tu proyecto. Ten en cuenta que debes abordar búsquedas, investigaciones, prácticas y lecturas, entre otro tipo de materiales.
Plantea un anteproyecto o perfil de tesis. Este anteproyecto establecerá los parámetros de tu búsqueda, es decir, definirás el tema de investigación y te dará una idea de los materiales con los que debes contar y los recursos que vas a necesitar para acceder a estos materiales. Este paso es importante porque de esta manera no te verás sorprendido en caso de no poder acceder a la información solicitada.
Realiza un esquema. El esquema ayuda a darle sentido y cuerpo a la investigación. Dentro de tu esquema, debes contemplar:
We believe that society is facing unprecedented economic, environmental, social and cultural challenges. We also believe that new innovations are the key to turning these challenges into opportunities to improve our communities and our planet.
THE SOLUTION
Coworking is redefining the way we do work. Inspired by the participatory culture of the open source movement and the empowering nature of IT, we are building a more sustainable future. We are a group of connected individuals and small businesses creating an economy of innovation and creativity in our communities and worldwide. We envision a new economic engine composed of collaboration and community, in contrast to the silos and secrecy of the 19th/20th century economy.
THE VALUE/THE CODE OF CONDUCT OF THE COMMUNITY
We have the talent. We just need to work together. Different environments need to overlap, to connect and to interact in order to
transform our culture. In order to create a sustainable community based on trust, we value: * collaboration over competition * community over agendas * participation over observation * doing over saying * friendship over formality * boldness over assurance * learning over expertise * people over personalities * «value ecosystem» over «value chain»
This new economy cannot thrive without engaging the larger business, creative, entrepreneurial, governmental, non governmental and technical communities
together.
THE FUTURE
We believe that innovation breeds innovation. We will transform the world culture into one supportive of the entrepreneurial spirit, of risk taking, of pioneering into the unknown territories as the great leaders of our times. This requires education, entrepreneurship and a large network of creative workspaces.
We are reshaping the economy and the society through social entrepreneurship and innovation. Our communities are coming together to rebuild more human scale, networked, and sustainable economies to build a better world.
Sabía que tenía que prepararme, ya que la proximidad de las elecciones multiplicaría por mil las apariciones de Cristina en público. Sin embargo, que la Presi se mande tres cadenas nacionales en siete días –cuatro días hábiles– es como mucho. No sé, me había malacostumbrado al verano de alegrías del caso Nisman, en el que Cris sólo aparecía vía Facebook o pelotudeaba a los chinos por Twitter.
Por cuestión de suerte, casi termino dentro del Museo del Bicentenario. Parece que había free pass con 2×1 en camisetas de “Máximo 2015″. Pregunté si no era redundante afirmar que el kirchnerismo terminaba, máximo, en 2015 cuando no hay chances de re-re, y me quedé sin entrar. Dispuesto a no quedarme con las ganas de almorzar me metí en mi barsucho amigo de calle Bolívar. Allí, la cadena me pegó en los dientes mientras trataba de masticar un tostado.
Previo a la cadena, Cristina realizó algunos anuncios por videoconferencia, entre los que estuvo la inauguración de un centro de atención a las adicciones en Palpalá, Jujuy. Desde allí, su interlocutor, el cura Juan Carlos Molina, le pidió que “vuelva a ser Presidenta en 2019″. Cristina le tiró “ojalá que 2019 me agarre haciendo algo que me guste”, mientras la monada aplaudía sin entender que dijo, sin indirectas, que ser Presidente no está en su lista de cosas favoritas. Por un lado es cierto que hacer las cosas que le gustan se le facilitó bastante en los últimos años, con eso de que unos desconocidos le digan que la aman tras conseguir la planta permanente, poder pasear por el mundo, empilchar lindo y arbitrar los medios necesarios para que la Justicia no pregunte de dónde sacó la plata. Pero por el otro lado, tener que levantarse antes del mediodía cada tanto, bancarse planteos inhumanos –¿Qué es eso de quejarse por la corrupción, la inflación, la miseria, los impuestos y la inseguridad, manga de ingratos?– y ver que la Justicia ya empieza a molestar más que infante a las 23.30 de Nochebuena, pinta un panorama de que ya no es un negocio viable.
Contenta, exultante, radiante y ya en cadena, la Presi saludó y se excitó como quinceañera en vals al afirmar que mantuvo un conversación por “escai” con el CEO de “renol”, quien prometió una inversión de 600 millones de dólares para Argentina. No es que uno no esté acostumbrado a la forma de hablar de nuestra políglota mandataria, pero cuando la erudita empieza a expresarse en tilingo antiguo se nos complica la comprensión. Estuve unos instantes tratando de dilucidar si decía “Renol”, “Reinol” o che cazzo hasta que caí que no se refería al Rohypnol sino a Renault. Una vez dilucidada la cuestión entre benzodiacepina y fábricas automotrices francesas, pude entender que el motivo de tanto festejo se debía a que el gobierno logró atraer una inversión. Teniendo en cuenta que, entre habilitaciones, construcciones y giros, la inversión se concretará en dos años, el único mérito de Cristina por haber conseguido el desembolso es irse.
Remarcó que los capitales de renol en realidad eran de Nissan, “que nunca produjo nada en nuestro país”. En parte es cierto, pero resulta que, desde 2001, el Director Ejecutivo de Nissan es el mismo que el de Renault, que está en el país desde 1955. Me refiero al caballero honorario de la corona británica Carlos Ghosn. Pero lo que importa es que la Presi se sintió orgullosa.
Automáticamente, saltó del orgullo por el renol de Nissan hacia la jubilación 450 mil de la moratoria del año pasado. Celebró que, de los seis presentes, cinco fueran mujeres, porque “las más explotadas seguimos siendo las mujeres”. Nuevamente recordó que cuando llegó Néstor Kirchner los jubilados cobraban 142 mangos, pero al menos no fue tan bestia como en enero, cuando sostuvo que con el último aumento –del 18,3%– el haber “creció el 2550 por ciento, es decir, 25 veces”. Y tambien, nuevamente, mintió, dado que cuando asumió Néstor, la jubilación mínima estaba en 200 pesos, lo cual no era un fangote de guita, pero convengamos que achica un poquito la fiesta de los números. Esa cosa del kirchnerismo de agrandar la miseria por el mero peso de los ceros. Como no podía ser de otra manera, ya que hablaba de gobiernos pretéritos, se le cayó lo del descuento del 13% a los sueldos de los estatales en 2001. Si bien el país estaba por estallar, podríamos recordar que la inflación no existía. No es un detalle menor, dado que, sólo por dar un ejemplo, el año pasado la inflación fue del 39% y hoy ofrecen aumentos por el 26%. Es un descuento del 13%, pero nacional, popular, democrático y con satélite.
Por si fuera poco, la ídola del poltergeist numérico tiró como datazo para festejar que el Banco Mundial dice que el salario mínimo de Argentina es el más alto en dólares, equivaliendo a 442 gringos, superando al de Brasil, que a duras penas llega a los 300 verdes. Para corroborarlo, dijo que “no lo dice el Indec” sino el Banco Mundial, que elabora sus estadísticas con los datos que le proporciona el Indec. Curiosamente, si dividimos la jubilación mínima de 3.821 pesos por 442 dólares, nos da una cotización de 8,64. O sea, la oficial. Si la dividimos por la del dólar que se consigue, los hermanos brasileros nos empardan.
Luego de pegarle a La Nación por quejarse del despilfarro de la ANSES cuando tienen una deuda con el Tesoro, la Presi dijo que el verdadero “saqueo” se produjo con las Administradoras de Fondos de Jubiaciones y Pensiones, ésas por cuya implementación hizo lobbie Oscar Parrilli y a las que ni Néstor gobernador de Santa Cruz, ni Cristina diputada provincial, se opusieron ni un cachito. Pero con la tranquila impunidad que da criticar lo actuado hace más de dos décadas desde la comodidad de un país con el lóbulo frontal atrofiado, Cristina afirmó que lo de La Nación es un saqueo tributario legalizado. Como el de su marido, cuando se autoeximió de pagar el impuesto a las Ganancias por Decreto Ley.
Tras aclarar que “no está mal tener plata”, que viniendo de la Presi, es como que se acaricie solita y diga “no está mal tener 62 años”, explicó que “cuando los que tienen muchas cosas tienen demasiadas y hay cada vez más gente que tiene menos, esos que cada vez son más y tienen menos, por ahí, un día te quieren sacar las cosas que tenés vos”. Explicación del manual básico para la formación del progre, que en el primer párrafo del primer capítulo sostiene que “la delincuencia es producto de la falta de oportunidades laborales, ausencia de educación y la marginalización”. El drama es que, si tomamos por válida esa afirmación, las estadísticas de delincuencia nos dejan mareados: o el argumento de la delincuencia como producto de la marginalización no es real, o la marginalidad de los últimos 12 años no ha hecho más que crecer a costillas de un Gobierno que ha basado su gestión en la administración de la misiadura, con el reparto de planes asistenciales como curitas.
Para paliar la mala onda, Cris se puso en promotora de hipermercado y empezó a nombrar todos los descuentos que tendrán los jubilados que cuenten con la tarjeta Argenta, entre los que se encuentran viajes por Aerolíneas Argentinas en 48 cuotas sin interés en un país con una inflación interanual alrededor del 40%. Y después nos preguntamos de dónde viene el déficit.
Mientras le daba el primer sorbo al cortado en jarrito, Cristina volvió a la teoría progre de la delincuencia, pero abordada desde el temor, pidiendo que seamos conscientes de que si no los dejamos seguir revoleando la chequera ajena, después no deberíamos quejarnos de la delincuencia. Allí fue cuando afirmó: “No soy partidaria de justificar nada porque sean pobres, porque yo fui pobre y nunca justifiqué nada”. Me atraganté. Tosí. Volqué la taza. El café me salió por la nariz. Quemaba. Todo bien con el servicio del lenguaje de señas para sordomudos, pero podrían poner un cartelito, una señal de “guarda que se viene”. “Yo fui pobre”, tiró la hija de una empleada pública y el dueño de un puñado de colectivos. Sí, en la época en que las líneas de colectivos eran cooperativas, muchos choferes eran los dueños de sus propios vehículos. “Yo fui pobre”, dijo, y no tuvo la delicadeza de avisar. Porque yo zafé al estar sorbiendo un cortado, pero en pleno horario del almuerzo, esas cosas no se hacen. Mientras todos se reían –menos el mozo, que limpiaba con cara de bragueta– me puse a pensar en lo llamativo de que se defina como pobre una mina que pudo cursar su secundaria en el colegio Misericordia de La Plata y a quien, cuando quiso “juntarse” con el futuro estadista de mirada distinta, don Fernández le habilitó una casa que tenía de más en City Bell. Fue antes de que tuvieran que irse al “exilio interno”, donde, en escasos años, dejaría de ser menos pobre aún.
Cristina, sin quererlo, aportó su granito a la discusión por la pobreza. Unos días atrás, Axel Kicillof dijo que hablar de la cantidad de pobres que tiene el país es estigmatizarlos. En su momento dieron ganas de mandarle saludos a la familia, pero parece que el miniministro practica futurología y previó que Cristina los vincularía directamente a la delincuencia. Más tarde, el director del Indec contribuiría a las dudas sobre las teorías económicas al afirmar que “es muy complejo calcular qué es un pobre”. Y eso que en la puerta del edificio tiene siempre una o dos familias que pueden explicárselo. Sin embargo, tiene razón. Es complejo.
La definición básica que nos metieron en la escuela nos dice que la pobreza es la carencia de los bienes y servicios necesarios para satisfacer las necesidades básicas. Y convengamos que, viviendo hace más de una década bajo un gobierno en el que “todo es relativo”, no debe resultar fácil medir qué es carencia, qué son bienes, qué son servicios y qué es una necesidad básica. De un modo humilde, propongo que la definición se modifique por “carencia de los bienes, servicios y planes sociales necesarios para satisfacer las necesidades básicas”. Es una manito que les tiro, así no les resulta tan complejo medir si un tipo que vive en una de las millones de casillas de chapa y cartón que se acumulan en las mil villas existentes entre la Capital Federal y su conurbano, o en la periferia de todas y cada una de las grandes urbes de la Patria, es pobre o no. Y si quieren, se las simplifico un poco más: un jubilado necesita casi 7 lucas para sobrevivir un mes. Saquen cuentas de cuántos cobran la mínima de tres mil y pico, y ahí tienen otro numerito.
Luego de que el mozo me entregara otro cortado y añadiera un innecesario y casi traumático “tratá de no reventarlo”, me puse a pensar en el costado bueno de la afirmación de la Presi. Si hacemos el ejercicio de creerle que realmente era pobre cuando asistía a los bailes del Jockey Club de La Plata, es toda una esperanza. No cualquiera pasa de la pobreza a nadar en fardos de billetines extranjeros, con joyas y pulseras que ejercen de flotadores para no hundirse en la pileta de dinero que la ha convertido en una de las mujeres más ricas de la Argentina. Mucho más esperanzador es saber que se puede llegar a juntar esa guita habiéndo empezado a cobrar un salario en blanco recién a los 36 años, gracias a que la lista sábana de Menem le permitió sentarse en una banca de la legislatura provincial. Si ella pudo, todos podemos. La única contra que le encuentro al asunto de creerle es que salió de la pobreza sin planes sociales, sin Progresar ni Procrear, con lo que no tendrían sentido todas su políticas sociales.
El tema pasa por el otro paradigma que Cristina planteó en su discurso: que si unos tienen poco es porque otros tienen mucho. Ese ítem de la doctrina cristinista nos caga la ilusión, dado que para forrarnos en guita como ella, deberíamos hacer lo mismo que hizo ella y su marido.
Y ahí entraríamos en un problema, porque no podemos saquearnos entre todos.
Mercoledi. Mariotto le entregó un premio a la mamá de Cristina y otro a su hermana, por “haber formado a la Presidenta”. El día que habiliten el premio a haberla soportado, quebramos al país.